Une joint-venture ou coentreprise est l’association d’au moins deux entreprises dans le but « de mener à bien un projet précis, par exemple la production d’un bien ou la réalisation de recherches dans un domaine spécifique », explique l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), qui réunit 37 pays parmi les plus développés du monde. Les entreprises qui signent un accord de joint-venture s’engagent à « un partage des risques, un partage du coût du capital et la diffusion des connaissances », explique l’OCDE. Elles espèrent ainsi que l’association de leurs compétences leur permettra d’atteindre une plus grande efficacité. Une joint-venture peut prendre la forme d’une association contractuelle ou d’une structure juridique commune, lorsque la coopération est destinée à durer. Les joint-ventures internationales, créées par des sociétés issues de pays différents, « permettent de faciliter la pénétration d’un marché étranger » en simplifiant les formalités administratives, précise sur son site la direction générale du Trésor, qui dépend du ministère de l’Économie.
À voir aussi :