Les pertes et dommages sont définis par l’ONU Climat, un organisme des Nations unies, comme les dégâts causés par les catastrophes résultant du changement climatique, qu’il s’agisse d’événements extrêmes tels que les ouragans ou d’événements plus lents comme l’élévation du niveau de la mer. Ils ne comprennent pas les destructions dues à des catastrophes n’ayant pas de lien démontré avec le réchauffement de la planète, tels que les tremblements de terre. Certains dégâts peuvent être chiffrés, comme la destruction d’une maison. D’autres le sont difficilement, comme les atteintes à la biodiversité. La nature des pertes et dommages varie selon les territoires. Les pays riches enregistrent les plus grandes pertes économiques, car les catastrophes, telles que les ouragans ou les incendies, y détruisent des actifs (logements, entreprises, bétail, etc.) dont la valeur est élevée. Les pays pauvres portent l’essentiel du coût humain.